Architecture
Les maisons de types villa, qui étaient celles des riches de l'époque, se composaient de plusieurs parties. Une partie jour, car le créole vivait à l'extérieur de la maison durant la journée, où on retrouvait la cuisine au feu de bois, les sanitaires, le jardin et la varangue, et une partie nuit, réservée aux chambres. Il y avait aussi une salle à manger intérieure.
Il n'y avait pas d'architecte durant la colonisation de l'île et les maisons étaient construites selon le modèle décidé par leur propriétaire et son ouvrier lorsqu'il avait les moyens d'en avoir. Ce qui importe surtout c'est la climatisation de la maison pour faire face aux grandes chaleurs de l'été. La maison créole est donc construite sur un soubassement permettant une climatisation naturelle. La construction hors sol permet en effet d'avoir un vide sanitaire qui climatise la maison. Celle-ci est également équipée d'une multitude d'ouvertures pour faciliter la circulation de l'air.
D'un point de vue de la structure, la maison créole est dite symétrique. En effet, faute d'architecte, les ouvriers traçaient une ligne sur le sol et construisaient de part et d'autre deux parties identiques, ce qui donnait des maisons de formes rectangulaires essentiellement.
La varangue est un élément important de la maison. Il s'agit d'une terrasse extérieure construite sur l'avant de la maison, car elle permettait d'afficher ses richesses à la rue.
Un jardin créole complète la maison. Il est composé de plantes locales, trouvées en forêt. On y retrouve généralement une serre aux orchidées, des anthuriums et différents types de fougères.
Il n'y avait pas d'architecte durant la colonisation de l'île et les maisons étaient construites selon le modèle décidé par leur propriétaire et son ouvrier lorsqu'il avait les moyens d'en avoir. Ce qui importe surtout c'est la climatisation de la maison pour faire face aux grandes chaleurs de l'été. La maison créole est donc construite sur un soubassement permettant une climatisation naturelle. La construction hors sol permet en effet d'avoir un vide sanitaire qui climatise la maison. Celle-ci est également équipée d'une multitude d'ouvertures pour faciliter la circulation de l'air.
D'un point de vue de la structure, la maison créole est dite symétrique. En effet, faute d'architecte, les ouvriers traçaient une ligne sur le sol et construisaient de part et d'autre deux parties identiques, ce qui donnait des maisons de formes rectangulaires essentiellement.
La varangue est un élément important de la maison. Il s'agit d'une terrasse extérieure construite sur l'avant de la maison, car elle permettait d'afficher ses richesses à la rue.
Un jardin créole complète la maison. Il est composé de plantes locales, trouvées en forêt. On y retrouve généralement une serre aux orchidées, des anthuriums et différents types de fougères.
Musique
Sega
Main article: Sega musicSéga is a popular style that mixes African and European music.
MaloyaMain article: MaloyaMaloya has a strong African element reflected in the use of slave chants and work songs.
Non-traditional musicIn Réunion there is a very strong jazz community and rock culture is also becoming strong on the island.
Rap, Reggae, Zouk, Ragga and Dancehall are also popular. One popular ragga song recently is Ragga Chikungunya about the 2005 mosquito disease outbreak
Main article: Sega musicSéga is a popular style that mixes African and European music.
MaloyaMain article: MaloyaMaloya has a strong African element reflected in the use of slave chants and work songs.
Non-traditional musicIn Réunion there is a very strong jazz community and rock culture is also becoming strong on the island.
Rap, Reggae, Zouk, Ragga and Dancehall are also popular. One popular ragga song recently is Ragga Chikungunya about the 2005 mosquito disease outbreak
Médias
Quatre titres composent la presse quotidienne régionale : le Journal de l'île, Le Quotidien de La Réunion, Visu et Témoignages, édition du Parti communiste réunionnais. L'essentiel de la presse magazine est constitué d'hebdomadaires spécialisés dans les programmes de télévision et de quelques périodiques consacrés à la vie des entreprises commerciales et industrielles.
Le PAR, paysage audiovisuel réunionnais, longtemps monopolisé par l'ORTF, auquel succèdent les chaînes publiques FR3 en 1975, puis RFO en 1982, est aujourd'hui représenté par trois chaînes de télévision hertziennes : Réunion 1re (chaîne publique), Antenne Réunion et Télé Kréol. Deux bouquets satellites sont proposés par Parabole Réunion et Canalsat Réunion.
Le paysage radiophonique a vécu aussi une grande transformation à la suite de la libération des ondes voulue par le président socialiste François Mitterrand dès son élection en 1981 ; l'île compte plus de 45 radios privées qui émettent pour certaines d’entre elles sur l’ensemble de l’île et conquièrent leur auditoire en usant de l'interactivité.
En effet, Radio Freedom est une radio basée sur ses auditeurs. Le programme est constitué de l'intervention, en direct, de ses auditeurs, et ce, de 5 h à 0 h (plus en cas d'événements, cyclones…), en plus des journaux. En 1991, lors de la suppression de Télé Freedom (créée par la même personne que Radio Freedom (Camille Sudre) par recours du CSA au préfet (Télé Freedom émettait clandestinement), des émeutes éclatèrent car c'était, à l'époque, le seul média et moyen d'expression libre, qui diffusait des films d'arts martiaux, des films pornographiques et le maloya.
Depuis novembre 2010, la télévision numérique terrestre permet de recevoir, en plus des chaînes locales, les chaînes de France Télévision, Arte et France 24.
Le PAR, paysage audiovisuel réunionnais, longtemps monopolisé par l'ORTF, auquel succèdent les chaînes publiques FR3 en 1975, puis RFO en 1982, est aujourd'hui représenté par trois chaînes de télévision hertziennes : Réunion 1re (chaîne publique), Antenne Réunion et Télé Kréol. Deux bouquets satellites sont proposés par Parabole Réunion et Canalsat Réunion.
Le paysage radiophonique a vécu aussi une grande transformation à la suite de la libération des ondes voulue par le président socialiste François Mitterrand dès son élection en 1981 ; l'île compte plus de 45 radios privées qui émettent pour certaines d’entre elles sur l’ensemble de l’île et conquièrent leur auditoire en usant de l'interactivité.
En effet, Radio Freedom est une radio basée sur ses auditeurs. Le programme est constitué de l'intervention, en direct, de ses auditeurs, et ce, de 5 h à 0 h (plus en cas d'événements, cyclones…), en plus des journaux. En 1991, lors de la suppression de Télé Freedom (créée par la même personne que Radio Freedom (Camille Sudre) par recours du CSA au préfet (Télé Freedom émettait clandestinement), des émeutes éclatèrent car c'était, à l'époque, le seul média et moyen d'expression libre, qui diffusait des films d'arts martiaux, des films pornographiques et le maloya.
Depuis novembre 2010, la télévision numérique terrestre permet de recevoir, en plus des chaînes locales, les chaînes de France Télévision, Arte et France 24.